• La rumeur courait depuis un petit moment...

    Depuis que la porte-parole du festival avait annoncé il y a quelque ssemaines, avoir enregistré la venue en dernière minute d'une "potentielle tête d'affiche" .

    Il n'avait alors pas fallu bien longtemps pour que cet invité surprise prenne le nom de Radiohead (habitué des actions imprévues) qui n'est pas venu (en formation complète, Thom yorke et Johnny Greenwood s'étant incrusté l'an dernier) dans le sud de l'angleterre depuis 1997.

    C'est aujourd'hui officiel : le meilleur groupe de pop du monde sera bien présent ce soir pour un set surprise sur la grande scène du plus vieux festival d'Europe.

    Une raison supplémentaire pour repasser par là dans la soirée

     

    http://www.bbc.co.uk/music/festivals/glastonbury/2011/

     

     

     

     

     


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  • Je ne sais pas vous  (et peu importe) mais j'ai un faible pour cette période de l'année.. lorsque le printemps s'achève pour laisser place à un été dont les premiers jours sont marqués par des évènements (fête de la musique, di cinéma, Open de Wimbledon) revigorants et réjouissants.

    C'est aussi à cette époque qu' a lieu chaque année le mythique festival anglais de Glastonbury.

    Ce week-end encore, ce sera encore la marée humaine du côté de Pilton, dans le sud de la Perfide Albion car comme chaque année, les 137 000 billets disponibles ont été vendus en moins de quatre heure à l'automne dernier.

    Il faut dire que cette fois encore l'affiche proposée par ce rendez-vous mythique est alléchante. Sont en effet annoncés (hormis la pluie et la boue invités récurrents) pour cette édition 2011 : U2, Morrissey, QOSTA,Chemical Brothers, Primal Scream, Elbow, Eels, The Kills, Fleet Foxes, Two Door Cinema Club, TV On The Radio entre autres.

    Bref, un cocktail imparable de vieux routars et de jeunes loups aux dents longues qui devrait donenr à lieu à une très belle édition 2011 de ce rendez-vous.

    Glastonbury 2011 commence véritablement ce soir avec les concerts de BB King, Morrissey, Bright Eyes, Fleet Foxes, Two door Cinema Club et surtout U2, très attendus depuis la défection de l'an dernier mais qui devra composer avec la présence dans la foule d'un groupe militant les accusant d'évasion fiscale.

    Bon festival !

     

    www.glastonburyfestivals.co.u

     

     

     

     


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    Prenez un (très) jeune groupe brit pop du nom de Cajun Dance Party,, ajoutez-y deux gros hits indie ("The next intouchable",t"Amylase"),  un buzz sur le net (génération myspace),, saupoudrez le tout de critiques dithyrambiques et du soutien inconditionnel d'un grand nom (Bernard Butler) de la brit pop, et voilà résumée la (très) courte carrière de ce groupe anglais apparu à la fin 2007 et séparé au début de l’année dernière.

    Rebondir...

    Nul doute que les anciens de Cajun Dance Party ont ruminé et conjugué ce verbe durant des mois.

    Deux ex-membres de combo viennent de prendre une bonne longueur sur leurs anciens camrades avec avec un nouveau projet baptisé Yuck.

    Yuck... drôle de patronyme mais bon

    Jusqu'ici tout va bien (comme dirait Matthieu) sauf que Yuck, en fait c’est comment faire du neuf avec du (pas très) vieux.

    J’avais pris le parti ici de ne parler que des albums qui me procuraient de good vibes mais là la vessie est trop énorme pour que l'envie d'y planter un croc vigoureux ne me prenne pas.

    Explications :

    Leur premier album éponyme (paru il y a quelques semaines) aurait eu parfaitement sa place au tout début des années quatre-vingt dix, à l’époque proto-grunge des Sonic Youth, Dinosaur JR, Sebadoh etc..

    Comment en effet ne pas songer au groupe de Jay Mascis à l'écoute des chorus de "Get away" qui ouvre l’album, aux Lemonheads sur « The wall » ou encore à Pavement sur les ballades "Shook down", "Suck" "Sunday".

    Tout le disque est comme ça, anachronique, nostalgique, tourné vers cet âge d’or de la scène alternative US que fut la fin des années quatre-vingt et le début des années quatre-vingt dix.

    Rassurez-moi, le rock c’est autre chose qu'essayer de copier ses modèles fussent-ils glorieux ?

    Allez les petits gars de Yuck, bougez-vos fesses et montrez-nous que savez faire autre chose que singer (certes habilement) vos idoles.

    Bon album sans plus.

     

     

     

     

     


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  • « The right man at the right place » soit l’art d’être quand il faut là où il faut.

    Cet exercice-là, le producteur américain Danger Mouse semble le maitriser à la perfection.

    Gorillaz, Gnarls Barkley, Beck, Dark Night of The Soul, Broken Bells, le monsieur à la coiffure afro n’est jamais tout à fait là où on l’attend.

    Dernier projet en date, Rome un album concept hommage aux musiques de western de Morriconne, écrit en collaboration avec le compositeur italien Danielle Luppi.

    Tout commence  il ya cinq ans, lorsque les deux protagonistes se rencontrent via un ami commun. Très rapidement, leur goût pour les BO des années soixante-dix et les productions sixties les rapprochent.

    Le couple décide d’écrire un album afin de rendre hommage à ces musiques mythiques qui ont bercé leur adolescence.

    Le disque devra cependant être  réalisée sous certains conditions :  il devra être enregistré en analogique, avec les instruments de l’époque et surtout avec les musiciens accompagnant Ennio Morricone à l'époque des grands longs métrages du regretté Sergio Leone.

    Pas une mince affaire.

    Le décor planté, reste le contenu, à définir.

    Lippi et Mouse sont d’accord sur le fait de concevoir le disque comme une série de chansons et non comme une BO imaginaire d’un film qui n’existerait pas.

    Ainsi, Rome sera pop (ou ne sera pas).

    S’en suit alors une véritable chasse au musicien afin de mettre le grapin sur ces vétérans de la musique italienne que sont les Patrigani, les Moderni ou encore la chorale d’Allesandroni ainsi qu'une quête des instruments de l’époque.

    Au final, cela donne un album superbe, une galette inclassable qui renferme autant de séquences d'une BO imaginaire que de véritables chansons, ce que l’on appelle un ovni musical en somme.

    Baigné d'une atmosphère vintage à souhait, cette galette fait cpeendant preuve d'une très belle cohérence

    Sans être un classique, Rome sort de la masse des albums composés à la va-vite pour affirmer une démarche et un son unique, à la fois rétro et contemporain.

    Rome évoque beaucoup le Gainsbourg des 70's (celui de Melody Nelson ), certains ambiances de The Coral ou encore le disque des Last Shadow Puppets.

    Porté par les participations vocales de Jack White et la belle Norah Jones, cet album, sans être un chef d'oeuvre est une vraie réussite.

    A l'évidence, on n'a pas fini de croiser le nom de Danger Mouse au dos de projets tous aussi surprenants qu'ambitieux que celui-ci.

    Un très beau périple sur fond de nostalgie des seventies.

     

     

     

     


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    La bande à Thom Yorke est définitivement passée maitre dans l'art de la communication et du u marketing...

    En guise d'amuse-bouche avant la diffusion (le 1er juillet prochain) de leur concert sur la BBC (Radiohead y jouera l'intégralite de son dernier album), les anglais ont dévoilé un inédit intitulé "Staircase", enregistré lors de cette fameuse session BBC.

    On y voit le groupe, accompagné aux drums de Clive Deamer, batteur chez Portishead notamment.

    Vous en pensez quoi ?

    Ca sent la fin de Radiohead non ?

    Enjoy (ou pas)

     

     


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