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    Le groupe écossais mythique en clip sur MBPR ??

    Ca alors !

    Enjoy !

     

     

     

     

     


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    La bande à Dave Grohl est une sacrée troupe de joyeuxs lurons.

    La preuve en images !

    Enjoy le clip

     

     

     

     

     

     

     


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  • Effets de la crise ? Compression de budget ? Menace de faillite personnelle ?

    Le breton troquerait le super pour du carburant ordinaire?

    Rassurez-vous, rien de tout cela...

    Le titre un peu provoc' de ce post n'est que le prolongement du nom du futur album du brestois.

    Car , à mon grand étonnement, moins de deux ans après la parution de Finistériens (il est vrai composé et enregistré avec son compère Tiersen), le mio est déjà de retour cette année .

    L'album à venir a donc pour titre Chansons ordinaires.

    Pour un opus qui le sera tout autant ?

    Que sait-on pour le moment de cette galette ?

    Pas grand-chose pour le moment, si ce n'est que (si l'on en croit son auteur),il devrait s'agir d'un disque très rock :

    A vérifier sur pièce le 29 août prochain.

     

     

     


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    Polly Jean et moi, moi et Polly Jean…, c’est déjà une longue histoire, de celle qui vous marque à vie.

    Au départ ce fut pourtant un peu compliqué,, comme une suite de rendez-vous manqués.

    Débarquée en pleine ère grunge, j'étais alors trop bien entouré pour laisser une chance à cette (alors très jeune) inconnue, qui plus est originaire de la perfide Albion alors en totale perte de vitesse (il est vrai qu'avec Pearl Jam, Nirvana, Dinosaur JR, Sonic Youth, The Pixies, le choix était vaste et de qualité).

    Elle avait pourtant tout pour me plaire la Polly : une musique brut, un son de guitare sale et rock teinté d’un blues écorché, son premier opus Dry n’aurait pas déparé au milieu de tous ces disques de chevelus portant jeans déchirés et chemises de bucheron.

    Mais que voulez-vous, je n'en avais alors que pour la scène indé américaine.

    Puis, il y eut ce terrible mois d’avril 1994 et le suicide que l'on sait.

    Mon âme inconsolable et endeuillée se tournais alors tout naturellement vers celle qui se devait de reprendre le flambeau du punk-rock : Miss Love et son groupe de filles Hole.

    Ce fut cependant une idylle de courte durée. la veuve cobain se révélant rapidement pas à la hauteur du (il est vrai immense) défi qui se trouvait devant elle.

    Plus tard, je donnais également sa chance au toujours sympathique Dave Grohl et à ses nouveaux-nés Foo Fighters mais là encore ce ne fut qu’une passade.

    D'autant que peu de temps après, je succombais à nouveau au charme d’un blondinet, un jeune chanteur (anglais cette fois-ci) encore plus frêle que le précédent (et au regard étrange) qui allait une nouvelle fois changer ma vie.

    Ce fut la passion Radiohead (celle des Creep, Street Spirit ou Lucky) qui dura près de dix ans.

    Dix années au cours desquelles je fus quasi-exclusif,  ne m’accordant que de rares infidelités pour revoir mes ex-amours grunge.

    Pendant ce temps-là, Polly, attendait son tour.

    Patience, quelque chose allait bientôt tout changer dans notre "histoir".

    Début 2000, la chanteuse s’attaquait à son cinquième opus et enregistrait un duo Thom Yorke le chanteur de Radiohead.

    «This mess we’re in ».  Une tuerie.

    Je me passais en boucle ce titre hypnotique et obsédant sur lequel le mélange des deux voix faisait merveille.

    Par ricochet, cette chanson changeait la perception que je pouvais avoir jusque là de l’anglaise.

    Si mon "héros" de l’époque avait accepté d’accorder un peu de son précieux temps à cette artiste, c'est sans doute que ses albums valaient le coup d’y jeter une oreille.

    Ce fut le temps de la découverte des premiers albums de la chanteuse du Dorset : Dry, To bring you my love, Rid of me. Je me rendais compte à quel point durant toutes ces années j'étais ypassé à cpoté de quelque chose de grand d'important muscialement.

    L'oeuvre de cette artiste intransigeante unique me prenait aux tripes et je finissais par succomber au vévéneux charme de cette brune mystérieuse venue de nulle part.

    Depuis, nous avons fait du chemin. De Stories à Let England shake en passant par Uh Uh her, la belle m'a accompagnée dans les moments de joie comme dans ceux de tristesse.

    Elle fut sans doute aussi ma compagne fantasmée, mi rockeuse mi vamp.

    Une longue histoire vous disais-je..

    Et même si le personnage de diva victorienne qu’elle s’est créé récemment a un peu contribué à nous éloigner , nos routes ne se sont encore jamais séparées.

    Merci pour tout PJ.

     

    MBPR

     

     

     

     


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