• Dans la catégorie groupes de pop légère et primesautière (toujours bien coiffée) pouvant éventuellement être jouée au beau milieu d'un salon ou d'une bibliothèque, lequel aimez-vous le plus ?

    Et surtout lequel pensez-vous faut-il contacter en vue des noces d'or De Papi et Mami ?

    J'attends vos réponses avec impatience !

     


     










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    Du talent à revendre pour ces jeunes parisiens dont les mélodies me donnent envie de passer de l'autre côté defranchir l'Atlantique, de porter pourquoi pas un chapeau de cow-boy, d'enfiler des bottes et de me réfugier dans les hauteurs de Brokeback Moutain afin d'y respirer l'air pur

    De la pop de chambre (comme ils aiment se définir) qui fait du bien aux oreilles 

     

    http://www.myspace.com/popdechambre 

     



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    Sans doute une des  galettes les plus attendues de l'année que ce nouvel album des précurseurs trip-hop

    D'abord annoncé pour février, la parution de Weather underground a une nouvelles fois été repoussé 

    La faute à un trop grand nombre de participants?  Bon ou mauvais signe quant à la future qualité de ce disque?

    Toujours est-il que devraient  y figurer un casting d'artistes plutôt impressionnant si l'on s'en réfère aux noms qui circulent : ainsi la chanteuse Liz Frazer, Damon Albarn, le chanteur de TV On The Radio Tunde Adebimpe ainsi que'ex-chanteuse de Mazzy Star Hope Sandoval

    Bref que du beau monde

    Et quand l'on sait aussi que le groupe a fait appel à David Siteck (TVOTR) pour prendre en charge  le son et la production de l'album , on qu'une seule hâte : pouvoir tendre une oreille en direction de nouvel opus du collectif de Bristol

    Mais la question qui demeure est quand ?

    Bientôt...

    Votre serviteur s'y engage

     

    http://www.massiveattack.com

     

     

     

     


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  • On le pensait usé, fatigué, épuisé par toute cette pression et ce vacarme autour de son groupe et de son travail... hors le voilà qui refait déjà surface

    Lui, c'est bien sûr le jeune américain Zach Condon qui se cache derrière Beirut et qui est de retour le 17 février avec non pas un nouvel album mais deux mini- LP intitulés respectivement "March of the Zapotech" et "Holland"

    Une démarche plutôt surprenante de la part dun artiste qui jusqu'ici nous avait habitué à du classique pour ce qui est des disques publiés

    De quoi s'agit-il alors cette fois ?

    De deux versants d'une même personne probablement et de deux disques très différents l'un de l'autre si l'on en croit les dires de son auteur

    Le premier "March of the Zapotech" est un mini-album enregistré avec une fanfare mexicaine suite à une collaboration avortée entre Condon et un réalisateur américain dont le nouveau film se déroule au Mexique

    On pourrait penser à un disque dans la lignée des musiques mariachi de Calexico mais il n'en est rien fort heureusement

    Condon s'est entouré cette fois de 17 musiciens mexicains qui jouent une musique généralement exécutée lors des mariages ou des enterrements (...)

    Il ne s'agit donc clairement pas de trompettes ni de cuivres mariachis et compagnie (personne ne s'en plaindra) mais plutôt d'une musique d'une tristesse et d'une intensité marquante comme pouvait celle des fanafares des Balkans que l'ami Zach a tant écoute lors de sa jeunesse passée en Europe de L'est

    Du Beirut comme on l'aime en quelque sorte, tragique forcément

    Le second EP est un disque.... d'electro-pop entièrement composé à la maison par le jeune homme

    Avant de former Beirut le jeune américain avait un projet de musique électronique du nom de Real People

    C'est donc de ces réminiscences et du produit d'années d'expérimentations sonores en tous genres qu'il s'agit et que Zach Condon nous donnera à écouter à partir du 17 février prochain

    Pour patienter, un premier extrait de "March of the Zapotech" est déjà visible (à défaut d'être audible sur la page myspace du bonhomme)

    Chanson mystérieuse et poignante, clip à la hauteur bref enjoy !

     







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  • "Je veux qu'on me rende mon rêve, je veux qu'on me rende mon Amérique"

    C'est avec ces mots lourds de sens et de détermination que le Boss avait marqué son soutien sans faille au sénateur Obama dès son investiture il y a quelques mois

    Il est donc complètement logique de l'avoir retrouvé en premier de cordée le 18 janvier dernier lors du concert qui célébra l'investiture de ce dernier

    C'est à Springsteen que revint donc l'honneur d'ouvrir ce grand rendez-vous

    Après avoir interpreté «This Land Is Your Land» avec Pete Seeger, une des légendes du folk américain, le Boss se lança dans une version poignante de "The rising" chanson hautement sybolique puisqu'elle avait été choisie comme hymne officiel de sa campagne par Obama lui-même

    Un grand moment donc et une version inoubliable de ce classique du Boss accompagné pour l'occasion d'un choeur gospel

     

     

     


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