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    Alors ? Saignantes ou vraiment inoffensives ces créatures ?

     

     

     

     


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    Enjoy!

     

     


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  • Révélé au début des années quatre-vingt-dix avec Suede, l’anglais a su au fil des années s’imposer comme un des chanteurs les plus doués de sa génération.

    Que l’on aime ou pas le falsetto altier de Brett Anderson, force est de reconnaitre que ce chanteur originaire de Londres appartient à cette catégorie d’artistes que l’on reconnait quasi-instantanément.

    Lorsque que son groupe se sépare il y’a dix ans, on le pense aux portes d’une traversée du désert (que l’on se prend à imaginer longue) tant il est le chef incontesté de cette formation précurseur de la brit pop.

    Erreur. Après un intermède avec The Tears (en collaboration avec son premier guitariste Bernard Butler), l’anglais à la mèche prends son courage à deux mains set se lance dans une carrière solo qui débouchera sur quatre albums publiés entre 2007 et 2012 (dont un petit bijou, Slow attack paru en 2010).

    Quatre galettese et une pop élégante, majestueuse et une musique intimiste parfaite pour les longues soirées d’hiver.

    Hélas,  le succès populaire n’aura pas été au rendez-vous des productions en solo de cet homme cultivé et sans doute attachant.

    Depuis, l’anglais a reformé le groupe qui lui a permis de devenir célèbre.

    Pour le pire et le meilleur ?

     

     


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    En aperçevant leur patronyme sur ce site français de captations live, je me suis intérieurement exclamé  "Waw".

    Il faut dire que les lèvres brûlantes sont un nom prestigieux du rock alternatif américain (au même titre que Sonic

    Youth ou Yo La Tengo) et que les savoir présents à ce festival parisien (qui ne possède pas encore la dimension d'un Coachella ou d'un Pitchfork Festival) m'a pour le moins surpris voir épaté.

    Bon concert!

     

     


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