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     On se moque pas :)

     

     

     


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    Membre d'un des groupes les plus en vues de la dernière décennie, créateur d'un des riffs de guitare les plus célèbres du rock, compositeur du générique du dernier James Bond (et à venir du prochain Disney), Jack White, cet espèce de Johnny Depp du rock, est devenu en quelques années une figure incontournable de la musique. Après les projets collectifs Raconteurs et Dead Weathers, l'homme au chapeau (et à la guitare) avait cette fois décidé de passer à l'épreuve la plus difficile, à savoir celle de l'album solo.

    On allait voir ce qu'on allait voir et (enfin) savoir ce que le bonhomme a dans le ventre.

    Autant vous le dire d'emblée, on n'est pas déçu.

    Blunderbuss, premier album en solo de l'ex WS est une belle réussite.

    La pochette (JW grimé en gothique, corbeau sur l'épaule) ne laisse guère planer le doute. Il s'agit d'un disque sombre, sur lequel la douleur et la mort planent (on sait le chanteur récemment divorcé et sans doute marqué par ces épreuves personnelles).

    Mais laissons là les explications hasardeuses. JW est musicien avant tout.

    Deux premiers extraits avaient donné le ton : on y entendait du JW sans surprise mais sans manque d'inspiration non plus. Comme une mise en bouche prometteuse en fait.

    Il n'en fait qu'à sa tête l'ami Jack.

    Libéré des contraintes de la configuration en groupe, le guitariste laisse ici libre cours à son imagination et joue la musique qu'il aime. On passe donc successivement du blues au rock en passant par le folk ou la country, le tout avec une maestria qui impressionne.

    Moins de riffs de guitare, davantage de piano (surtout) et de cordes, tel semble avoir été le credo sur ce disque.

    JW s'est d'ailleurs fait une spécialité : celle de remettre au goût du jour des choses déjà entendues jusque-là.

    Sur les treize titres que comporte cette galette, aucune trace de sonorité world, reggae ou électro mais au contraire du vieux son réactualisé.

    Du rock à guitares saturées de "Sixteen Saltines "et "Freedom at 21" au folk de "Love interruption" en passant par l'exercice de style country, l'ex White Stripes démontre ici toute l'étendue de sa palette musicale qui, il est vrai, est grande.

    Chaudement recommandé (notamment pour les fans de Robert Plant).

     

     

     

     


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    Un peu de soleil par ce temps gris et pluvieux...  

     

     



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    Un disciple de Yann...

     

     

     

     


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    Voilà un retour inattendu... et qui fait plaisir.

    A l'heure où je m'interroge sur la question de savoir si je dois poursuivre ce blog au délà de cet été, me voici à poster à propos d'un groupe qui figure parmi les premiers a avoir été chroniqués sur cette pagei.

    The Spinto Band, un combo new-yorkais dont la pop rafraichissante évoque les lointains Dexys Midnight runners ou plus près de nous, Pavement voir Weezer.

    Le groupe sera de retour le mois prochain (le 1er très exactement) avec nouvel album intitulé Shy pursuit qui pourrait bien être une des bonnes surprises de ce printemps (surtout si l'on en juge à ce premier extrait) politique et pluvieux.

    Enjoy!

     

     

     

     


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