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    Je prend une grosse claque.

    Désolé

    Les mots manquent.

     

     

     

     


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     Petite piqûre de rappel....

     

     

     

     


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    Depuis la parution du premier album des montréalais d'Arcade Fire, il est de bon ton de se pâmer d'admiration devant tout ce qui vient du Canana et, tout particulièrement, de la capitale du Québec.

    AF, Broken Social Scene, The New Pornographers, Wolf Parade, Patrick Watson, Handsome Furs, la scène montréalaise anglo-saxonne regorge de groupes dont les patronymes font se tordre de bonheur les amateurs de musique indé.

    Sans vouloir faire la fine bouche (il faut sacrément être de mauvaise foi pour affirmer que ces formations sont mauvaises) il faut peut être un peu raison garder et ne pas prendre toutes les vessies (Wolf parade) montréalaises pour des lanternes.

    S'il en est bien une de lanterne qui éclaire le ciel indé d'une lumière pure et belle depuis quelques années, c'est bien la canadienne Leslie Feist (plus connue sous le nom de Feist).

    D'abord membre du collectif montréalais Broken Social Scene, la belle brune a pris son envol en 2004 avec un premier album intitulé Let it die qui rallia tous les suffrages à la fois du public et de la critique.

    Avec sa musique folk et ses refrains pop, la canadienne a mit tout le monde d'accord à tel point qu'il fallait sans doute habiter dans une autre galaxie pour ne pas avoir entendu une fois en 2004 l'entêtante ritournelle "Mushaboom" qui la propulsa au rang des grandes révélations pop/rock de cette année.

    Trois ans après, l'album The reminder vint confirmer tous les espoirs placés en cette magnifique chanteuse. La belle, toujours aussi inspirée, livrait sur cet opus des titres aussi brillants (et radiofriendly) que "1,2,3,4", "My moon my man." "I feel it all", des chansons qui allaient lui amener la reconnaissance internationale sur un plateau.

    Quatre (longue) années se sont écoulées depuis The reminder.

    Pendant ces quatre ans, la montréalaise a vu plusieurs de ses copines (Yael Naïm, Bat For Lashes) lui passer devant.

    Qu'importe, la reine du folk indé c'est elle et personne d'autre.

    Rendez-vous le 4 octobre prochain pour écouter son troisème opus intitulé Metals qui, si j'en juge par les premeirs extraits parus sur la Toile, ne devrait pas déparaitre dans la discographie de cette grande artiste.

    On en reparle le mois prochain ?

    En avant-première, le premier extrait de ce très attendu Metals !

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Lundi dernier, le petit Zach était de passage à Paris.

    L'Olympia, salle mythique, était remplie comme un oeuf pour accueillir celui dont les modèles ont pour nom Brel, Piaf ou encore Bregovic.

    L'occasion d'un voyage hors du temps avec la musique intemporelle de l'ami Condon.

    Enjoy!

     

     

     

     

     


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