• Pour combattre et vaincre le blues de la rentrée de septembre, rien de tel qu'un album des new-yorkais de The National. Ou pas.

    La bande à Matt Berninger n'en est plus à son coup d'essai. Sleep Well Beast paru lors de la première semaine de septembre n'a pas provoqué de révolution chez ce groupe très apprécie des indie fans. Désormais sûrs de leur force, le combo américain l'a joué à sa main. Une constance qui ne peut qu'impressionner... 

    Moins évident semblait être le come-back des anglais de The Clientele, une formation londonienne trop peu en vue, leur pop raffinée au doux parfum suranné étant trop éloignée des modes pour créer le buzz. 

    Leur huitième album intitulé Music for the Age of Miracles est très bon.

     

     

                   

     

     

                    

     

     

     

     

     


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  • En juillet, on attendait avec impatience le retour discographique des canadiens Arcade Fire, absentq des bacs odepuis plus de quatre années. 

    Et .. patatras! La grosses déception. Probablement celle de l'année.

    Passée aux mains de producteurs (Thomas Bangalter) hype , la troupe canadienne y a laissé sa légendaire incandescence. Dommage.

    Entre temps, le collectif Broken Social Scene, également originaire de Montréal était revenu aux affaires avecc un épatant sixième album.

    Une manière de démontrer la très grande vitalité de' la scène montréalaise.

     

                    

     

     

                       

     

     

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  • Le printemps battait son plein lorsque l'actualité indie fut accaparée par deux come-back inespérés: 

    ceux de Slowdive et de Ride, deux groupes cultes pour les amateurs de shoegaze et de musique aux accents planants.

    Plus de 20 années après la fin de leurs activités en 1995, ces deux formations prestigieuses effectuaient leur come-back discographique avec deux albums au doux parfum de la nostalgie de ces années d'avant la brit pop, d'avant le grunge et Nirvana.

     

                 

     

     

     

                    

     

     

     

     


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  • Deux come-backs sont venus éclairer ce printemps 2017 : celui, attendu, des barbus californiens Grandaddy après plus de 10 années d'un silence (quoiqu'entrecoupé des escapades sonores et solitaires de Jason Lyttle ) assourdissant. Un bel album intitulé Last Place paru en mars dernier est revenu conférer une place de choix aux adorables grands-pères dans le monde de la musique indé.

    Plus discret a été celui du tourangeau Gérald Chifflot et de son projet indé pop Gus Musics accompagné de l'écrivain et poète Yan Kouton. Après un premier album publié il y a trois ans, le quadra est revenu en avril dernier avec Happening, beau disque réalisé en collaboration avec le toujours excellent Christian Quermalet (Married Monk) pour un résultat à la hauteur des attentes suscitées en 2014. 

     

                      

     

      

                      

     

     

     

     


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  • L'année 2017 démarrait par un climax émotionnel suivi d'un retour en douceur d'un groupe très attendu.

    Un premier choc fut le 7 janvier dernier avec la sortie de l'EP posthume cinq titres "No Plan" de David Bowie. Composé de titres écrit durant les sessions d'enregistrement de Blackstar, ce disque recèle une atmosphère lancinante y évoque la fin proche de l'auteur de Ziggy Stardust. Entre jazz et expérimentations sonores, Bowie s'y révèle mystérieux et énigmatique. Salut l'Artiste. 

    Troisième album intitulé I See You pour le trio londonien The XX. Sur I See You, le groupe y abandonnant sa pop à guitares minimaliste au profit d'une musique aux accents dub step. Un virage mainstream pop de la part de Jamie, Romi et Oliver.

    Enjoy

     

     

                       

     

     

     

                       

               

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