•                   

     

     

     

     

     

     


    1 commentaire
  •                    

     

     

          Un Hymne!

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •                         

     

     

                     

     

     

     

     

     


    1 commentaire
  •                              Mellon Cholie And The Infite Sadness a 20 ans

     

     

    C'est un anniversaire dont on ne parlera sans doute pas ou peu.

    Une célébration symbolique dont le sens et la signification même échapperont au commun des mortels.

    Il y a 20 ans et deux jours, paraissait Mellon Colie and The Infinite Sadness, le double album culte des Smashing Pumpkins.

    Un disque-somme et une oeuvre colosssale qui a marqué la décénnie 90 du rock indé.

    Un double-album fruit d'un travail amorcé quatre auparavant avec Gish, premier effort publié en 1991 dans l'anonymat quasi-général du fait de l'incroyable popularité d'un autre groupe américain de l'époque, Nirvana. 

    Cette défaite médiatique et le manque de reconnaissance immédiat, Billy Corgan, le leader des citrouilles la conservera longtemps en travers de la gorge.

    Lui qui ado, rêve de gloire et de reconnaissance a vu ses ambitions réduites à la portion congrue du fait de la popularité (qui se révèlera au final tragique) d'un autre musicien, américain lui aussi, Kurt Cobain.

    Une place de Poulidor du rock alternatif US que le chanteur des citrouilles écrasantes n'acceptera jamais.

    Il lui faut la marche la plus haute, celle des gagnants, de ceux qui entrent directement au panthéon des légendes du rock.

    Après Siamese Dream un second album qui a fait connaitre les SP sur la scène internationale (l'effet Nevermind et la mode grunge s'étant estompée), le quatuor de Chicago veut frapper fort.

    Pour parvenir à ses fins, l'ambitieux Corgan va employer les (très) gros moyens.

    Corgan veut un "The Wall pour la génération X". Un disque qui fera date. 

    Une ambition démesurée et un défi de taille pour un groupe qui ne compte alors que trois (deux albums + un disque de faces B) au compteur.  

    Accompagnés jusqu'ici par le producteur américain Butch Vig, le groupe décide cette fois de faire appel à deux grands noms du milieu en les personnes de Flood et d'Alan Moulder.

    Un choix contrasté et paradoxal répondant aux lubies de Corgan qui veut donner à l'album une allure et des sonorités schizophrènes 

    Ces deux magiciens du son ayant des méthodes de travail très opposées, le groupe américain se retrouve à revoir sa manière d'enregistrer et de composer.  

    Flood (U2, Depeche Mode) se veut très proche et à l'écoute des désirs de Corgan alors qu'Alan Moulder souhaite valoriser le travail des autres membres du combo.

    Pour la première fois, ce ne sera pas Corgan's groupe. Là ou (selon la légende) le chanteur aurait réenregistré les parties de la bassiste D'Arcy et du guitariste James Iha, Corgan compose et tient compte des participations de ses acolytes.    

    L'enregistrement se déroule sur six semaines (à raison de 14 heures par jour) dans des conditions bien meilleures que pour le précédent.

    Le résultat est à la fois grandiose et gargantuesque: un double-album de 28 chansons, sorte d'oeuvre se voulant représentative de l'univers et du son très contrasté de cette formation unique capable du bruit le plus primaire comme des mélodies les plus délicates.    .

    Si sur le cd 1 figurent la plupart des tubes ("Tonight, Tonight", "Zero", Bullet with Butterfly Wings") extraits de cet opus, le second cd demeure sans doute le plus riche et avec le recul, le plus intéressant.

    Le groupe,connu pour ses envolées lyriques et bruyantes se révèle être une superbe machine à créer du rêve en musique.

    Certaines plages telles que "Thirty-Three", "1979" "Stumbleine" ou "Farewell and Goodnight" sont de véritables bijoux mélodiques.  

    L'album, plusieurs fois consacré aux grammys, entrera directement à la première place du BillBoard américain et fera des Smashing Pumpkins un groupe phénomène.

    Happy Birthday. 

                                     

     

     

     


    votre commentaire
  •                      Le lundi c'est BOWIE

     

    Il est partout et nulle part. à la fois

    Lui, c'est David Bowie, ce grand artiste à l'inventivité et au talent hors-pair qui a près de 70 ans demeure une figure incontournable de la scène pop internationale. 

    C'est qu'il symbolise beaucoup de choses le grand David : une légende de la pop, une icône (de la mode notamment), un personnage (avec ses frasques et son vécu) tout autant qu'un incroyable artiste qui n'est jamais où on l'attend.

    La preuve en est une nouvelle fois avec ce qui constitue LA nouvelle du jour : l'annonce d'un nouvel album du Thin White Duke.

    Après son retour-surprise  il y a près de trois ans avec The Next Day (un des meilleurs de sa très longue carrière), l'anglais reviendra au début de l'année prochaine avec Blackstar, un nouvel opus.

    Un album (le vingt-cinquième) qui aurait été enregistré à New -York en compagnie d'un groupe de musiciens de jazz. 

    Un disque dont les rumeurs disent qu'il sera étrange et un des plus audacieux sorti par l'anglaisi, entre free-jazz et musique alternative inspirée du krautrock de la fin des années 70.

    Bien que désormais retiré de la scène, le chanteur au regard trouble n'en demeure toujours pas moins autant avide de renouvellement et de recherche sonore.

    Son actualité est même plutôt riche puisqu'après avoir travaillé sur une comédie musicale tirée du dessin animé Bob l'éponge, Bowie vient de signer le générique de la nouvelle série de Canal + intitulée Panthers, un morceau qui devrait figurer sur BlackStar 

    Le disque qui s'annonce ovniesque, sortira le 8 janvier 2016, date du soixante-neuvième anniversaire de la star.

    Il est des anniversaires moins heureux.

     

                           

     

     

     

     

     


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires