•    

     

     

    Ce groupe demeure une machine infernale!

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Ils sont fort ces rosbifs. Ne faisant jamais rien comme tout le monde.

    Hier, avait lieu dans la capitale londonienne un happening médiatique des plus courus (et des plus secrets) par le tout journalistique du monde entier.

    But: annoncer le come-back d'un des plus grands groupes anglais de l'histoire.

    Oasis? Radiohead? Blur?

    Le troisième nom était le bon. Blur bien sûr.

    Depuis de nombreux mois, la rumeur et le buzz (savamment alimentés par les déclarations des uns et des autres) bruissaient d'un retour prochain du groupe londonien.

    C'est son leader en personne, le toujours gentil Damon Albarn qui avait annoncé la présence du groupe (à nouveau réuni) à la fin de l'année dernière dans des studios d'enregistrement à Hong-Kong (Chine).

    Les fans et la blogosphère avaient alors immédiatement relayés la nouvelle ainsi que le scoop d'un possible album du groupe.

    Après avoir annoncé le retour de son projet Gorillaz et publié son premier album en solo l'année dernière, c'est cette fois-ci accompagné du groupe que ses débuts que l'anglais effectuera un nouveau come-back discographique.

    L'album s'intitule Magic Whip et comportera 12 titres

    Un premier extrait vient d'être dévoilé sur la Toile. Il s'agit du titre "Go out".

    A l'écoute de ce premier morceau (moyen), nous sommes immanquablement replongés quinze ans en arrière... à l'époque des albums 13 et Blur avec lesquels le groupe virait littéralement sa cutie et optait pour une nouvelle direction musicale (largement inspirée des groupes américains indés du moment) et un son de guitare plus crade, tranchant avec les productions léchées des premiers albums.

    La pochette (laide, comme souvent) a été dévoilée. On y voit un énorme ice-cream accompagné de caractères en langue chinoise.

    petite explication : l'album est bien le fruit de ces sessions d'enregistrement à Hong-Kong. Et pour ce qui est du visuel (assez laid comme souvent), quoi de mieux qu'une bonne grosse glace en ces temps difficiles où la barbarie du monde nous rend morose.

    En avril, si on ne se découvrira pas d'un fil, on ouvrira également grand nos oreilles afin d'accueillir comme il se doit le huitième album des toujours futés Blur.

    En exclusivité, la nouvelle vidéo de J'apprends à cuisiner avec Blur.

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

     

     

    Il s'en passe au Vauban de Brest!

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    «Trente ans, c’est peut être le moment de s'enfuir ».. chante Miossec sur L’Etreinte un de ses albums les plus marquants.
    Ficherle camp, cette édition 2015 des victoires n’en avait manifestement encore pas l’intention cette année.
    Tout au contraire, à l’occasion de ce "glorieux" anniversaire, la cérémonie avait vu les choses en grand et décidé pour l’occasion, d’investir la grande salle du Zénith de Paris.
    30 ans et l’heure du bilan donc pour cette vénérable (ou pas) institution.

    Entre nostalgie et découvertes, récompense des meilleurs talents du moment et hommage à des pointures, des caciques de notre belle France, cette édition revêtait une saveur particulière.

    Passons sur les absents (Fauve en tête) qui, comme tout le monde sait ont toujours tort, pour se concentrer sur les présents ou cités au cours de cette soirée.
    Plusieurs catégories et pedigrees sont représentés ce soir-là : 
    Il y a les habitués : les Calogéro, Souchon et Voulzy (nos Simon and Garfunkel à nous), Aubert.

    Ceux dont le public des Victoires commence à  être familier  comme le duo féminin Brigitte, Julien Doré ou les groupe Skip the Use et ShakaPonk.
    Ceux que le grand public a découvert et consacré l’année passée et qui font office de favoris pour cette nouvelle édition (Christine and The Queens en premier lieu).
    Et puis il y a l'ultime catégorie, celle des nouveaux venus, des révélations, une catégorie qui donne tout son sens à cette soirée.

    Les invités (et le cadre) présentés, ne manquait plus à l’appel que la maitresse (pour un soir) des lieux.

    C’est à la sémillante Virginie Guilhaume que reviendra la (lourde) charge de mener à bien cette soirée... ce qui sera fait, au pas de charge et sans temps-mort (tendance réclamée par les diffuseurs).

    Alors, que retenir de ces presque quatres heures de cérémonie ?
    Des consécrations attendues comme celle de la révélation Christine and the Queens ou de The Do.
    Des surprise comme celle de Julien Doré (artiste masculin de l’année) ou la jeune Indila (album Révélation).
    mais surtout des découvertes et non des moindres : le charismatique Benjamin Clementine, Rivière Noire, l'excellent François And the Atlas Mountain ou encore le projet Cascadeur.

    Tous ces artistes peu ou pas connus du grand public auront eu ce soir la possibilité de se produire sur une grande scène et de présenter leur travail devant une salle remplie et une audience triée sur le volet.

    Au final, on repart de cette soirée un peu avec le sentiment diffus que le patrimoine musical français se repose encore et toujours sur ses vieilles gloires: les Bashung, Souchon, Aubert n’ont visiblement pas encore trouvé leurs successeurs et la relève se fait quelque peu attendre (les Raphaël, Doré, Cali et autres Benabar n’ayant manifestement pas les épaules).

    Pour le reste, les Victoires de la Musique sont un coup de projecteur donné (bien utile en ces temps de crise) à une scène underground dont la France peut se targuer de la richesse et de la vitalité.

     

     

     

     


    votre commentaire
  • <script src="https://www-secure.arte.tv/arte_vp/embed.php?json_url=http%3A%2F%2Fconcert.arte.tv%2Ffr%2Fplayer%2F38511&lang=fr_FR&config=arte_concert&width=540&height=340" type="text/javascript"></script>

     

     

     

    Cette semaine du 14/02 n'était pas uniquement dédiée aux amoureux.

    Depuis plusieurs mois, les passionnés de musique avaient sans doute coché sur leur calendrier les dates des 11 et 12 février correspondant aux deux soirées consécutives d'inauguration de la nouvelle salle de spectacles de la capitale, la Philharmonie..

    Tindersticks et The Divine Comedy avaient été conviés pour l'occasion, deux formations indé pop/rock parmi les plus précieuses et discrètes comme cadeau d'ouverture, les parisiens auront été gâtés.

    Pour nous autres, les gueux provinciaux, Arte Concerts aura fait un boulot admirable dont voici le rendu (en images et en sons).

    Enjoy!

     

     

     

     


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires