•   

     

     

    On vient à peine de commencer..

     

     

     

     


    1 commentaire
  •  

    Depuis lundi, les commentaires et les critiques vont bon train au sujet de ce cinquième album des lutins de Boston.

    Dispensable ?

    Pour ceux (et celles) que ça intéresse, le groupe de Black Francis était présent dans les locaux de la radio californienne KCRW pour une session regroupant anciens et nouveaux titres.

    Enjoy!

    http://www.kcrw.com/music/programs/mb/mb140424pixies/hd-showcase#ooid=FheDBmbTqy461b7GpmlS24LMD_aR9-pM

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

     

     

     

    Un classique !

     

     

     


    votre commentaire
  •  

     

    Le lundi c'est Pixies.

    Celui-ci en l'occurence, qui coincide avec le retour sur disque d'un des groupes les plus influents de l'histoire du rock.

    The Pixies, où comment quatre jeunes américains très ordinaires ont, en une poignée d'albums peu ordinaires eux contribué à façonnet et modifier la face du rock moderne du rock.

    Il y a Charles Thompson, d'abord le chanteur/leader grassouillet, tyrannique et allumé, compositeur n°1 di groupe et passionné de SF, Joey Santiago le guitariste créatif qui n'aime rien de moins que les longs solos de guitare, la bassiste à la voix d'ange Kim Deal et enfin le discret David Lovering à la batterie.

    Quatre individus lambda et musiciens ordninaires pour une osmose unique et une alchimie qui débouchera sur des tubes alternatifs ("Where is my mind", "Monkey's' gone to heaven", "Hey", "caribou") qui ont marqué les amateurs de musique rock de la fin des années quatre-vingt et du début des années quatre-vingt dix.

    Mais un groupe se doit également d'être jugé à l'aune de l'influence qu'il a pu avoir sur ses confrèeres et successeurs.

    A ce sujet, les lutins de Boston auront été une des formations les plus influentes et pionnières d'un genre qui allait dominer le rock pendant plusieurs années : celui, alternatif, qui de Sonic Youth à Nirvana ou Smashing Pumkins allait imposer la scène américaine comme une des plus marquantes de l'histoire du rock de ces trente dernières années.

    Le come-back de ce nom prestigieux du rock undergound est donc certainement une bonne nouvelle pour les amateurs du genre.

    Enjoy!

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •   

     

     

    Il y a eu le temps des polémiques, de la colère, de la honte même et du scandale.

    Est venu maintenant celui de la réconciliation, du pardon.

    Hier, au Printemps de Bourges était programmé Détroit en vedette d’une soirée qui comprenait également les shows de Girls in Hawaii, Fauve ou de Metronomy.

    Une position en fin de liste de cette soirée comme un symbole :  après les débats houleux et sans fin relatifs à son come-back, l’ex chanteur de Noir Désir a su convaincre tout son monde et en impose désormais.

    Un concert très attendu puisqu’il s’agissait du premier retour de l’ex-paria du rock sur la scène d’un des festivals les plus célèbres de l’Hexagone .

    Pour le grand public, exception faite de son crime, Cantat est toujours cet homme frondeur qui, un soir de mars 2002, s’est invité à une heure de grande écoute. C’était en direct sur France 2, depuis le plateau des Victoires de la Musique pour un discours mémorable en forme d’attaque frontale en direction de Vivendi et de son PSG, Jean-Marie Meyssier.

    Le chanteur avait alors marqué les esprits, fait la une des médias de masser et le (jusque là) plutôt discret Cantat avait vu sa notoriété grimper aussi vite qu'une action d’Universal à Wall Street.

    Jusqu'ici tout allait pour le mieux.

    Un an après, l’auteur de cette lettre se retrouvait sous les feux des projecteurs dans le rôle peu enviable cette fois de l’assassin et de l’homme violent symbole de la violence faite aux femmes. Un comble pour l’auteur de la ballade romantique Le vent nous portera.

    Cette terrible sortie de route, le chanteur de Noir Désir allait la payer cher : huit ans de prison et une image d’homme lâche, immature et violent à jamais rattachée à son nom. Infréquentable.

    Il n’en fera finalement que quatre et sera libéré conditionnellement pour bonne conduite) en octobre 2007.

    Demeurait alors la question du futur, de l’avenir d’une des personnalités les plus marquantes de ses trente dernières années.

    Elle se fera sous la coupole d’un nouveau cercle de musiciens, le combo Détroit, formé avec l’ami Pascal Humbert et quelques autres âmes de bonne volonté.

    Un album réussi plus loin, le bordelais est à nouveau de France et de Navarre et peut s’adonner en toute liberté (quoique  très surveillée) à ce pourquoi il est un des meilleurs : transmettre du plaisir et communiquer des émotions à son public qui n'aura eu de cesse de le soutenir et de l'encourager (parfois contre vents et marées)

    Que demande le peuple ?

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires