•        

     

     

    Enjoy!

     

     

     


    votre commentaire
  • Premier de cordée.

    Le magazine mensuel Rock and Folk est le premier à dégainer en s'intéressant d'un peu plus près à ce qui sera à n’en pas douter, un des moments forts de cette année musicale 2014 : la tournée de Détroit, le nouveau groupe de Bertrand Cantat.

    Une cinquantaine de dates échelonnées entre ce printemps et la fin novembre pour un tour de France des petites, moyennes et grandes salles.

    Après le succès dans les bacs (désormais avéré et reconnu dans les bacs, Cantat et son nouveau groupe entendent bien faire vivre leur nouveau bébé sur scène et venir ainsi à la rencontre de ce public qui est apparemment demeuré fidèle au chanteur de Noir Désir.  «On a envie de le partager et c’est un processus qui reste naturel » 

    L'ex Noir Désir est un chanteur. A ce titre, son métier comporte une partie qui se passe sur scène, sous les feux des projecteurs.  D’aucuns mettront sans doute en exergue l’indécence qu’une telle exposition génère (notamment pour la famille et les proches de Marie Trintignant).

    Le bordelais n’en a cure apparemment. « J’ai été jugé. J’ai payé. je fais mon métier. Certes, ce métier fait que l’on me voit ».

    Don't acte. Une fois la question morale tranchée, demeure alors celle artistique, du retour.

    On en sait un peu plus grâce à ce sujet grâce à ses pages consacrées au nouveau projet de Cantat.

    Détroit répète ses gammes en Auvergne, dans la cave d’une maison d‘hôte, du côté de Clermont-Ferrand.

    C’est ici que le journaliste Olivier Cachin est venu retrouver le groupe pour un entretien avec Cantat et son acolyte le discret Pascal Humbert.

    Alors, qu’apprends-t-on dans cette entrevue ? Pas grand-chose de décisif... si ce n’est que Détroit est né à Berlin (ville de la renaissance de grands mythes du rock tels que Bowie ou U2), que le paysage figurant sur la pochette d’Horizons est landais (situé près de la maison de Cantat), que le groupe a du faire face à un tas de pressions, que les textes ont été écrits au fil de l'inspiration, que le chanteur a songé a arrêter de chanter, que Cantat et Humbert sont de vieux amis de trente-ans qui avaient prévu depuis fort longtemps de se retrouver.

    Voilà.

    film en streaming vf

    Côté préférences et goûts musicaux du moment, Mr Cantat apprécie Fauve, connait Saez (il a même entendu dire qu’il avait un caractère de cochon) et est contre les émissions type The Voice, Nouvelle star etc.

    A la lecture de cette petite entrevue entre amis, le chanteur parait plutôt assagi, porté et protégé par cette nouvelle formation dont il sera, quoi qu’il fasse, l’attraction numéro un.

    Rendez-vous sur scène dans les semaines à venir afin de voir de quoi il retourne.

    http://www.rocknfolk.com/site/accueil.php 

     


    1 commentaire
  •    

     

     

    Le groupe américain au meilleur patronyme du monde de retour avec un nouveau single.

    Enjoy!

     

     


    votre commentaire
  •  

     

    Hier, était invitée sur le plateau du Grand Journal de Canal Plus (en compagnie de la comédienne-chanteuse Emmanuelle Seignier) une grande artiste, en la personne de Patti Smith.

    Patricia Lee Smith, où l’incarnation à tout jamais de la ville de New-York, de la contre-culture et tour à tour (grande) prêtresse du rock, marraine du punk et icône des années 70, venue à Paris à l’occasion d’une exposition consacrée aux travaux de son ex-amant, le photographe Robert Mapplethorpe.

    Une entrée sur le plateau toute en fragilité et en déséquilibre (la chanteuse manque de se casser la figure) et voilà l’américaine aux côtés de la blonde Emmanuelle Seigner.

    Une touche légère d’humour (la chanteuse fait une allusion malicieuse à l’actrice Jennifer Lawrence et à sa chute aux Oscars) puis l’entretien mené par Antoine De Caunes qui démarre.

    Patti nous conte alors sa rencontre avec le photographe, ainsi que ses belles années aux côtés de cet homme au talent trop peu connu. Souriante, très en verve, à la fois fragile et forte, l’icône féminine du rock made in USA impose sa tranquille assurance et sa classe naturelle. 

    Un voyage dans le temps, celui de la fin des sixties, une autre époque, celle de la beat génération et du flower power. Malgré des allures d’héroïne d’un roman de Bukowski ou de sorciére tirée d’un épisode inédit d’Harry Potter, l’artiste impressionne.  Il y a chez cette femme quelque chose de singulier, une singularité, un mélange androgyne entre Janis Joplin et Jimi Hendrix, deux de ses contemporains. 

    A côté d’elle, Emmanuelle Seignier, comédienne et muse du réalisateur controversé Polanski. L’actrice (accessoirement chanteuse à ses heures), chevelure blonde platine, est venue présenter son nouvel album. 

    Le live du jour ça sera donc elle : Madame Polanski interprétant « Bore me to tears », un titre extrait de ce nouvel opus. Un morceau correct sans plus, qui ne révolutionnera pas la face du rock, loin s’en faut. 

     Mais le plus remarquable fut ailleurs. Une fois ce titre lancé et ce riff de guitare pourtant mille fois entendu, enclenché, Patti Smith se leva de son tabouret et dansa devant les caméras, face au public.

    Rock'n roll jusqu’au bout des ongles.

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire