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    Son album de reprises de Brel est tout simplement splendide !!!

     

     

     


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    Well done Alex !!!

     

     


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    Fidèle à leur réputation selon laquelle leurs faces B seraient aussi bonnes, si ce n'est meilleures, que les morceaux figurant sur leurs albums.

    Enjoy!

     

     

     


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    Trois années se sont écoulés depuis la sortie de The Suburbs et la consécration qui s’en est suivi (Grammy du meilleur album de rock alternatif) .

    C’est auréolé du titre de « plus grand groupe de rock indé du monde », que les montréalais sont de retour en cet automne avec un quatrième album intitulé Reflektor.

    Un disque annoncé à grand renfort de buzz et de cybermarketing comme Arcade Fire en a désormais l'habitude.

    Comme à chaque fois, ce nouveau disque est entouré d’un faisceau d’idées-force et de concepts plus ou moins barrés.

    Revenus transformés d’un voyage dans les caraïbes, Win Butler, Régine Chassagne and co aurait cette fois pour ambition de faire danser leurs fans.

    Après la nostalgie d’une certaine adolescence et celle des grandes banlieues américaines, ce sont cette fois les racines haïtiennes du groupe qui alimentent les articles de presse autour de la sortie de ce nouvel opus.

    C’est donc ce pari un peu fou, celui de prendre son public à contre-pied, que les canadiens réalisent avec ce double album coloré, sensuel et ludique qui ravira sans doute les curieux, et repoussera peut être les fans des AF des débuts (ceux qui ont érigé Funeral au titre de monument personnel de leur discothèque).

    Sur ce double album, Arcade la joue moite, chaude et sensuelle. 

    Arcade Fire et Daft Punk désormais même combat ?.

    Fidèle à sa démarche aventureuse et à ce syncrétisme musical qui est sa marque de fabrique, les canadiens mélangent tout. La new wave et la black funk, la pop et les percussions vaudou, Bowie et le disco, LCD SoundSystem et Blondie, le punk et l’electro.

    On doit cette métamorphose bien sur au groupe, mais également à une rencontre avec un producteur de renom : James Murphy (LCD SOundSytem)

    En injectant boucles et sonorités typiques du son DFA, l’américain a redonné un nouveau souffle à la pop épique des canadiens.

    En équilibre constamment instable, Reflektor fascine tout autant qu'il déroute.

    Album-concept conçu autour du mythe d'Orphée et d'Eurydice, cette double galette constitue un virage dans la discographie des canadiens.

    Loin est désormais Funeral et ses montées lyriques, Neon Bible et ses climats sombres, Subrubs et ses airs de nostalgie adolescente, ce quatrième opus est celui de la renaissance artistique.

    Est alors convoqué une référence revendiquée de la troupe de Win Butler et Régine Chassagne, les têtes parlantes de David Byrne, formation elle aussi adepte d'une démarche cérébrale et sensuelle.

    Vous avez pleuré à l’écoute de Funeral, recueilli sur Neon Bible, rêvé avec The Suburbs et bien dansez maintenant !

    Un verre de rhum des Antilles à la main.

     

     

     

     

     


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