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    Tout nouveau tout chaud !

     

     

     


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  • On connaissait le goût immodéré de la bande à Robert Smith pour les concerts marathon (plus de deux voir trois heures).

    Le groupe anglais a établi un nouveau record dimanche 21 avril.

    Afin de célébrer la fin de sa tournée sud-américaine au stade Foro Sol de Mexico City, The Cure a joué durant près de quatre heures et demie ! (quatre heures et seize minutes selon COF)

    Au total, Robert Smith -qui fêtait son cinquante-quatrième anniversaire- et sa bande y ont joué cinquante de leurs meilleurs morceaux !

    Setlist :
    01. Tape / Open
    02. High
    03. The End of the World
    04. Lovesong
    05. Push
    06. Inbetween Days
    07. Just Like Heaven
    08. From the Edge of the Deep Green Sea
    09. Prayers for Rain
    10. Pictures of You
    11. Lullaby
    12. Sleep When I'm dead
    13. Play for Today
    14. A Forest
    15. Bananafishbones
    16. The Walk
    17. Mint Car
    18. Friday I'm In Love
    19. Doing the Unstuck
    20. Trust
    21. Want
    22. The Hungry Ghost
    23. Wrong Number
    24. One Hundred Years
    25. End

    1er rappel :
    26. The Kiss
    27. If Only Tonight We Could Sleep
    28. Fight

    2ème rappel :
    29. Plainsong
    30. The Same Deep Water as You
    31. Disintegration

    3ème rappel :
    32. Shake Dog Shake
    33. Cold
    34. A Strange Day
    35. The Hanging Garden
    36. Fascination Street
    37. Charlotte Sometimes
    38. Primary

    4ème rappel :
    39. Dressing Up
    40. The Lovecats
    41. The Caterpillar
    42. Close To Me
    43. Hot Hot Hot
    44. Let's Go To Bed
    45. Why Can't I Be You?
    46. Three Imaginary Boys (Robert Solo)
    47. Fire in Cairo (Robert Solo) (Robert: "I need my group back please")
    48. Boys Don't Cry
    49. 10:15 Saturday Night
    50. Killing an Arab

     


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    On connait tous celui qu'on a surnommé "le Grand Jacques", l’interprète inoubliable d’ «Amsterdam » ou de « Ne me quitte pas ».

    On oublie bien souvent qu’on en a un bien de chez nous, un vrai franchouillard, vrai titi parisien répondant également au doux prénom de Jacques.

    Je veux parler de monsieur Jacques Higelin, artiste avec un grand A qui, en plus d’être un grand nom de la chanson francophone a eu la riche idée de nous léguer deux petits rejetons (Arthur H et Izïa) qui ne sont pas parmi les plus mauvais élèves de la chanson et du rock hexagonal.

    Respect donc pour ce grand homme (et sa famille) dont on ne présente plus le caractère bouillonnant, de feu, et la folle excentricité.

    Ses derniers albums laissaient entrevoir un chanteur complet, à la sensiblité toujours à la fleur de peau, situé quelque part entre Trénet et un Tom Waits hexagonal.

    Son dernier album intitulé Beau repaire paru le mois dernier confirme cette évolution et la poursuit.

    Il est à ce jour, peut être son meilleur, son plus abouti.

    Douze titres d’une musique indémodable, charnelle, de qualité, fraiche et légère comme le printemps, un genre d’anti Carla Bruni en quelque sorte.

    Sur cet opus, Higelin (qui écrit et composé tous les titres) aborde une nouvelle fois les thèmes de l’amour, de la passion et de la tristesse aussi, toutes ces émotions qui font de la vie un arc-en-ciel d'émotions.

    Plus en forme que jamais, JH redevient ce génial fou chantant qu'il n'a jamais cessé d'être, ce poète écorché qui illumine notre quotidien et colore le ciel de nos émotions.

    Disque idéal pour accompagner ce printemps timide, Beau repaire est un album lumineux, enjoué et musicalement contrasté sur lequel le chanteur s’en donne à cœur joie.

    Merci. Champagne.

     

     

     


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    L'Amour est mort !

    Et oui...

     

     

     

     


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  • Ben Harper (né Benjamin Chase) demeurera sans aucun doute comme un des grands noms de l'ère post Nirvana qui est (toujours) la notre.

    Avec son goput pour les vieilles marmites et les vioeux pots, l'américain a remis au gout du jour le blues et ses dérivés.

    Le nouvel album (le onzième) s'intitule Get up, u disque humble de retour aux sources, celles du blues évidemment.

    Acommpagné d'un grand harmoniciste, le septuagénaire Charlie Musselwhite, le chanteur guitariste est venu présenter ses nouvelles compos (et accessoirement sa collection de guitare) chez l'ami Jason Bentley.

    Toute la musique que j'aime elle vient de là, elle vient du blues.

    http://www.kcrw.com/music/programs/mb/mb130423ben_harper_and_charl/hd-showcase


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