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    A presque cinquante printemps, l'anglaise vient de faire paraitre un nouvel album intitulé 50 words for snow.

    Un disque de circonstances à cette période donc, sauf que le réchauffement climatique est passé par là si bien que la perspective d'écouter cette galette sous un ciel neigeux nous semble loin mais loin....

    Enjoy !

     

     

     

     


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    J'espère que vous l'écouterez celle-ci !!

     

     

     


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  • L'air de rien cela fait presque quinze ans que l'ami brestois nous berce avec sa petite mélancolie ordinaire.

    Quinze années et huit albums dont ce Chansons ordinaires, intitulé ainsi en référence à l’écrivain George Perros, sa marrotte du moment.

    Cela devient une habitude, Miossec écrit généralement ses albums en réaction au précédent.

    C’est donc le jour et la nuit entre ce Chansons ordinaires et le disque précédent.

    Sur Finistériens (écrit et produit avec son comparse Yann Tiersen).le breton s’était un peu perdu dans un travail minutieux de studio qui lui avait fait perdre l’immédiateté de son écriture.

    Car finalement ce que l'on aime chez Miossec c’est lorsque que le bonhomme envoit la purée.

    Sur ce disque, peu d'orchestrations et le choix d'une formule compacte (le disque a été écrit à la suite d'une poignée de répétitions en compagnie de trois musiciens rennais).

    Chansons ordinaires est un disque cour qui fait la part belle aux ambiances rock

    Shoegaezing en arrière-fond sonore, batteries lourdes et guitares acérées, Miossec a troqué le velouté folk du début pour un style rock à la fois moderne et académique.

    Côté textes, ce neuvième opus est une bonne cuvée.

    Le brestois y retrouve son tranchant, cette manière qu’il a de décrire avec ce phrasé si particulier nos vies, nos peines, nos joies.

    Du Delerm version rock en somme.

    Et de la meme façon qu'il se l'était déjà permis sur Finistériens, Miossec s'autorise également des lyrics qui abordent l'actualité ("Chanson pour un fait d’hiver", "Chansons pleines de voix") souvent bien triste hélas.

    Ce Chansons ordinaires n’est pas le disque de l’année.

    Juste un bon disque de chanson rock.

    C'est déjà pas mal.

     

     

     

     


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    Voilà, ça c'est fait!

     

     

     

     

     


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  • Journée bien étrange que celle d'hier...

    Alors que je me faisais une joie de poster à propos de ce qui me semblait être une très bonne nouvelle, me voilà finalement en train de publier mes états d'âmes à propos de ce qu'est devenu le rock, c'est à dire un business.

    Primo : la nouvelle du jour : c'est évidemment celle du retour à venir du Boss accompagné de son groupe, le légendaire E Street Band avec une tournée mondiale qui passera par la France avec trois dates (Paris, Montpellier) à l'été 2012.

    Pour le fan que je suis, la venue de ce monument est de ses nouvelles qui vous donne un gros coup de booster pour la journée (voir pour la semaine),  vous donne envie de courir tout nu dans les bois, d'embrasser et et d'enlasser votre chère et tendre, bref quelque chose qui vous rend HEU-REUX.

    Passée ce moment débordant de joie spontanée, viennent alors les interrogations plus prosaïques : où et combien ?

    Renseignement pris, le Boss a prévu de poser ses valises à Montpellier le 19 juin et à Paris Bercy les 4 et 5 juillet prochains.

    Pour ce qui est du prix du billet, il oscille entre 85 et 125 euros (pour celles et ceux qui désireront être les mieux placés).

    Ceux qui me lisent régulièrement se souviennent que j'ai déjà eu la la chance de voir le bonhomme sur une scène (ce fut même un de mes premiers concerts).

    Cela s'est passé en 1988 à l'occasion de son show à l'Hippodrome de Vincennes pour la tournée Tunnel of love, concert qui sera suivi quelques semaines seuleùment après d'une participation à la tournée Amnesty International avec Sting, Peter Gabriel, Youssou'n Dour etc.

    A cette époque, le tarif de la place était parmi les plus honéreux du marché.

    Vingt années plus tard, la venue de Bruce est une nouvelle fois de ces sorties qui vous coutent un bras. 

    Car tout démocrate qu'il est, le Boss n'en est pas moins une star internationale avec, sans doute, le train de vie qui va avec.

    Et me voilà en train de me dire qu'une centaine d"euros pour un concert qui n'aura même pas lieu dans un stade ou une grande enceinte me parait un prix exagéré et qu'à cette vitesse, il n'aura bientôt plus que des gens très riches pour aller applaudir ces géants de la musique. 

    A ce tarif, les concerts devront être inoubliables pour ne pas laisser aux fans un goût amer.

    A titre de comparaison, les Arctic Monkeys (connus pour leur prestations courtes et peu convaincantes) seront au Zénith de Paris à cette même époque de l'année.  Prix du billet : 79 euros. 

    Un groupe qui n'a que quatre albums à son actif (dont un seul de véritablement réussi) dont le billet coûtera presque aussi cher que celui d'un monstre comme Sting (qui fera également le Zénith).. est-ce bien raisonnable ?

    Il n'y a plus de limites.

    Et je ne parle pas des tarifs sans cesse en hausse des pass pour les grands festivals.

    Est-cela la vocation du rock ?

    Toujours est-il que le Boss publiera un nouvel album au début de l'année prochaine et que (pour ceux qui en ont les moyens) il serait dommage de rater ses shows en France à l'été prochain.

    Bon week end

    MBPR

     

     

    


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